Lettre d'information | Octobre 2025
Madame, monsieur, chers amis de l’Ordre de la Libération,
Nouvellement désigné délégué national de l’Ordre de la Libération par le président de la République, c’est avec plaisir et honneur que je m’adresse à vous pour la première fois au travers de la lettre mensuelle.
Tout d’abord, soyez assurés de mon engagement et de ma détermination à assumer ma fonction et mes responsabilités. Avec toute l’équipe de l’Ordre de la Libération, je poursuivrai et renforcerai l’œuvre entreprise par mon prédécesseur, le général de division (2S) Christian Baptiste, à qui je rends hommage pour l’extraordinaire travail qu’il a accompli.
Ma mission, la mission de l’Ordre de la Libération, est claire. Elle tient dans les paroles du président de la République, prononcées lors de son discours en hommage à Hubert Germain, le 11 novembre 2021 : « L'Ordre, surtout, vivra. Protégé par le chef de l'Etat, gardien de la mémoire de ces femmes et de ces hommes qui, un jour, se sont hissés au-delà d’eux-mêmes pour la liberté de tous. Il fera des Compagnons de la Libération, une source éternelle d’inspiration pour tous les enfants de France, toujours unis. »
Je sais que je peux également compter sur vous pour remplir ma mission et magnifier les valeurs portées et défendues par les médaillés de la Résistance française et les Compagnons de la Libération, dont Hubert Germain, dernier d’entre eux, nous a enjoints de garder les braises ardentes et rougeoyantes.
Je vous souhaite maintenant bonne lecture de cette belle lettre mensuelle, préparée avec beaucoup de soin par tous les membres de l’équipe de l’Ordre de la Libération.

Prise de fonction du général d’armée (2S) Thierry Burkhard

À l'occasion de sa prise de fonction en tant que délégué national de l'Ordre de la Libération le 1er octobre dernier, le général d’armée (2S) Thierry Burkhard s’est recueilli dans la crypte du mémorial de la France combattante au Mont-Valérien où repose le dernier Compagnon de la Libération, Hubert Germain.
Inauguration du collège Hubert Germain à Saint-Chéron

Le 7 octobre, le général Burkhard a assisté à la cérémonie de baptême du collège Hubert Germain de Saint-Chéron, aux côtés des élèves et des élus.
Dernier Compagnon de la Libération mais aussi ancien maire de la commune, Hubert Germain incarne l’engagement et le courage. Porter son nom, c’est porter un héritage dont les élèves peuvent être fiers.
Dans son discours, le général a souhaité leur faire passer un message : « Soyez ceux qui s’engagent les premiers, même quand il y a encore de l’incertitude, vous êtes les braises ardentes et rougeoyantes dont la France a besoin ».
Désormais la mémoire de ce Compagnon résonne au cœur d’un lieu d’éducation et de jeunesse.
Signature de la convention avec les élèves de la classe défense
Le 9 octobre, en présence des autorités militaires et des représentants de l’éducation nationale, a eu lieu la signature de la convention de partenariat dans le cadre de la mise en œuvre d’une classe de Défense entre le collège Daniel Mayer (Paris 18e) et l’Ordre de la Libération.
Cette signature marque le début d’un partenariat inédit et d’un parcours mémoriel encadré tout au long de l’année par le service de médiation du musée.
Retrouver plus d’informations sur le projet de la classe défense dans la partie « Vie du musée »
Un mois de rencontres pour le délégué national
Depuis sa prise de fonction, le général Burkhard a rencontré autorités, personnalités et partenaires de l’Ordre.
Des échanges relatifs à la mémoire des Compagnons de la Libération et des médaillés de la Résistance, de la transmission aux jeunes générations dans la continuité des liens qui unissent l’Ordre à ses partenaires.

Parce qu’un musée d’histoire contemporaine est constitué d’objets qui témoignent que « l’histoire a eu lieu » mais également d’archives et de photographies sans lesquelles la contextualisation est impossible, parce que le musée de l’Ordre détient aussi dans ces domaines des collections d’une grande richesse, il nous a semblé intéressant d’élargir désormais à ces trois domaines la rubrique de « L’objet du mois », en laissant à ceux qui en ont la charge directe le soin de les choisir et de les commenter.
Dans le but de valoriser ses collections et d’accroitre son rayonnement, le musée de l’Ordre de la Libération met progressivement en ligne ses collections sur le site internet de l’Ordre.
La photographie du mois par Béatrice Parrain, responsable des collections photographiques

Ce mois-ci, le choix s’est porté sur un important fonds photographique consacré au Compagnon de la Libération Albert Littolff donné par sa famille en 2024.
Cet ensemble de 362 photographies nous fait découvrir différentes facettes de ce passionné d’aviation. Pilote dans l’armée de l’Air avant la Seconde Guerre mondiale, Albert Littolff (1911-1943) abat son premier avion ennemi pendant la campagne de France en 1940. Refusant l’armistice, il décolle, le 25 juin 1940, aux commandes de Dewoitine 520, comme deux de ses camarades pour rejoindre l’Angleterre où il s’engage dans les Forces aériennes françaises libres. Il participe avec l’Escadrille française de chasse n° 1 à la campagne de Libye au printemps 1941 puis, jusqu’à l’automne 1942, avec le groupe de chasse Alsace. Volontaire pour le groupe de chasse Normandie dès sa création, Albert Littolff rejoint l’URSS fin 1942 et participe en 1943 aux opérations aériennes sur le front central.
Sa passion pour le cheval des airs lui fut fatale. En effet, le 16 juillet 1943 il disparaît au cours d’un combat dans la région d’Orel en même temps que son allier Noël Castelain. Il avait alors le palmarès le plus éloquent des pilotes de son unité avec plus de 2 000 heures de vol, 218 missions de guerre et 14 victoires.
C’est seulement en juillet 1960 que son corps est retrouvé par des paysans russes dans l’épave de son avion. Rapatrié en France en septembre de la même année, Albert Littolff est inhumé au carré des militaires morts pour la France dans le cimetière Saint-Pierre de Marseille.
L'objet du mois par Lionel Dardenne, assistant de conservation

Képi de directeur général de Gilbert Grandval
Cette très rare pièce d’uniforme de directeur général de zone d’occupation française en Allemagne (ZOF) répond à la note du 31 juillet 1945 qui décrit les insignes de grade des « Assimilés spéciaux pour les territoires occupés » (ASTO). Les fonctionnaires supérieurs détachés, ainsi que les contractuels non assimilés dans le corps des ASTO, portent de 1 à 4 broderies en forme de feuilles de chêne ; normalement sur les passants d’épaule et semble-t-il plus rarement sur le képi.
La note du 25 août 1945 précise que 3 feuilles de chêne correspondent à directeur général, qui est une fonction et non un grade. Créé par l’ordonnance du 2 novembre 1945, le « Cadre temporaire du personnel pour les gouvernements militaires dans les territoires occupés (Allemagne et Autriche) » assurait l’administration de ces territoires et la liaison avec les organismes alliés correspondants.
Tous les agents du Cadre temporaire étaient tenus au port de l’uniforme dont les insignes ont été décrits dans l’arrêté du 30 mars 1946. Les insignes en forme de feuilles de chêne sont à nouveau décrits dans cet arrêté.
Le 20 septembre 1944, le colonel Grandval (Gilbert Hirsch-Ollendorff), Compagnon de la Libération, reçoit le commandement de la 20e région militaire. Gilbert Grandval est ensuite nommé dans la Sarre, d’abord comme gouverneur militaire des Forces françaises d’occupation (septembre 1945-janvier 1948) puis successivement comme haut-commissaire de la République (1948-1952) et comme ambassadeur de France (1952-1955). Gilbert Grandval occupe ainsi les plus hautes fonctions en Sarre du rattachement à la France en 1945 jusqu’au retour de la Sarre dans le giron de l’Allemagne de l’Ouest en 1956.
L'archive du mois par Roxane Ritter, responsable des archives et du centre de recherche

Né à Saint-Guénolé en Penmarch dans le Finistère, François Péron est un marin pécheur. Démobilisé après l'armistice de juin 1940, il retourne en Bretagne et jure de ne pas se soumettre à l’occupant allemand.
Le 20 novembre 1940 à 23 heures, François Péron se trouve au café de l'Océan à Saint-Guénolé avec d'autres pêcheurs afin de « faire la part » de la pêche du jour. Voyant de la lumière allumée, une patrouille de la Feldgendarmerie entre pour effectuer un contrôle d’identité. Ne supportant pas qu’un soldat allemand pointe son arme contre lui, Péron tente de la détourner. Un coup part alors et un projectile se fiche dans le plafond. Après avoir été assommé par un coup de crosse, Péron est emmené par les Allemands.
Incarcéré à la prison de Mesgloaguen à Quimper, il est condamné à mort par le tribunal militaire allemand FK 752 le 16 décembre 1940 pour « coups et blessures sur soldats allemands », ce malgré l’intervention du préfet et de plusieurs notables.
Le 10 février 1941, alors qu’il est toujours détenu à Quimper, François Péron bouscule une sentinelle et parvient à s’enfuir en sautant de sept mètres dans un jardin voisin. Mais, s’étant brisé la jambe, il est très rapidement repris.
Interné à l’hôpital militaire de Concarneau du 15 au 20 février 1941, il est fusillé le 25 février 1941 à Concarneau. Ne pouvant se tenir debout à cause de son plâtre, François Péron est fusillé sur son brancard adossé à un arbre dans le bois de Kériolet. Avant son exécution il aurait trouvé la force de se redresser et de crier « Vos balles ne me font pas peur, je suis prêt. Vive la France ».
À ses obsèques, plusieurs de ses camarades déposeront une gerbe marquée de la mention « François dors en paix, de Gaulle te vengera ».
Heurté par la disproportion de la condamnation de François Péron et par les conditions inhumaines de son exécution, le général de Gaulle lui attribue la croix de la Libération par décret du 17 août 1941, faisant de lui le premier Compagnon de la Libération non Français libre.

Un peu plus de 400 personnes ont été accueillies en médiation ce mois-ci et ont bénéficié de visites ateliers et des nouveautés de notre offre culturelle.
Lancement de la classe de Défense
L’Ordre de la Libération vient de signer un partenariat dans le cadre de la mise en œuvre d’une classe de Défense avec le collège Daniel Mayer du 18e arrondissement de Paris. Cette classe sera encadrée, tout au long de l’année scolaire, par notre service de médiation. Ce dispositif, favorisant le lien Armée/jeunesse, est de manière inédite mis en place entre un ordre national et une classe de 3e. Les élèves s’engagent ainsi dans un parcours mémoriel jusqu’à ce qu’ils deviennent eux-mêmes ambassadeurs de la mémoire de résistants envers leurs camarades. Ils proposeront ainsi en fin d’année scolaire une cérémonie dans leur établissement en l’honneur du médaillé de la Résistance française (dont le collège porte le nom).
Animation de l’atelier pédagogique « Les résistantes et la France » aux Rendez-vous de l’Histoire de Blois

Pour la première fois notre médiatrice, Emma Pollo, a animé en partenariat avec la Fondation de la Résistance et l’INA, un atelier pédagogique aux Rendez-vous de l’Histoire de Blois. Cet atelier destiné aux enseignants et aux chercheurs était intitulé « Les résistantes et la France ». Via le parcours de trois résistantes, il avait pour but d’interroger le rapport de ces femmes à la France dans leur engagement dans la Résistance.
Retour sur l’Escape Game
L’escape game « L’Armée des ombres » a fait sa rentrée le 14 octobre. Quatre équipes ont dû mener une course contre la montre pour venir en aide à quatre résistants de la première heure. Une fois par mois, nos médiatrices plongent les visiteurs dans une immersion complète où, dans un musée fermé, ils devront accomplir leur mission le plus rapidement possible, la vie de leurs camarades résistants en dépend !
Nouvelle campagne de photographies des collections du musée
Depuis 2021, le musée de l’Ordre de la Libération mène régulièrement des campagnes de prises de vue des collections avec le concours de photographes de l’ECPAD (Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense).
Ce mois-ci, une centaine d’objets ont ainsi été photographiés tels des tenues, des couvre-chefs (képi, calot, béret…), des objets en trois dimension volumineux et diverses pièces récemment entrées en collection.
Ces prises de vues sont essentielles car elles contribuent à la valorisation des œuvres, notamment par le biais du portail des collections qui vise à la mise en ligne progressive de l’ensemble des collections du musée.

Remise de la fourragère de l'Ordre de la Libération aux élèves de première année de l'école de l'Air et de l'Espace.
Le 18 octobre, à Salon-de-Provence, a eu lieu la présentation au drapeau de la promotion 2025 de l’école de l’Air et de l’Espace. À cette occasion, comme tous les ans depuis 2019, les élèves de première année ont reçu la fourragère de l’Ordre de la Libération des mains de leurs camarades de deuxième année, dans le cadre de la reprise de compagnonnage de l’Escadrille française de chasse n°1 (EFC1).
Cette distinction collective, qu’ils porteront désormais avec fierté tout au long de leur première année, rappelle le courage exemplaire de cette unité Compagnon de la Libération. Ils la transmettront à leur tour l’an prochain.

La maison familiale rurale de Terrou et le projet « Esprit de Résistance »
En 2024, les jeunes lycéens de la maison familiale rurale (MFR) de Terrou, dans le Lot, ont créé un parcours historique pour raconter ce qui a valu à leur village d’être médaillé de la Résistance française en 1947. Ils ont conçu et mis en place ce projet durant l’année de la passation du drapeau de l’association nationale des communes et collectivités médaillées de la Résistance française (AN2CMRF) dans leur commune.
Cette première initiative a stimulé leur réflexion et nourri leur ambition : créer un réseau national d’ambassadeurs de la mémoire, réunissant des jeunes issus des MFR, en partenariat avec les villes médaillées de la Résistance. La passation du drapeau de l’AN2CMRF dans leur commune a constitué l’acte fondateur de leur projet « Esprit de Résistance ». Leur idée est que chaque commune médaillée soit associée à au moins une MFR, afin que leurs histoires ne se perdent jamais et continuent d’inspirer l’avenir.
Lors de la cérémonie de passation du drapeau, le 20 septembre à Thônes, les jeunes de la MFR de Terrou ont pris la parole pour présenter leur projet « Esprit de Résistance » et transmettre symboliquement le relais aux lycéens de la MFR du Villaret de Thônes.
L’an prochain, les jeunes de la MFR du Villaret de Thônes passeront à leur tour le relais à ceux de la Meuse, lors de la prochaine passation du drapeau qui se déroulera à Béthincourt.

La SAMOL remet ses dernières acquisitions au musée
Le 2 octobre, la SAMOL a remis au musée ses dernières acquisitions, en présence du général d’armée Thierry Burkhard, délégué national de l’Ordre. Le président Radal, en le remerciant pour sa présence, a rappelé combien sa nomination à la tête de l’Ordre constitue une exceptionnelle démonstration de la place et du rôle que joue l’institution.
Il a aussi rendu un hommage appuyé au général Christian Baptiste dont l’implication et la vision stratégique ont, depuis 2017, conduit l’Ordre à se positionner comme une des institutions majeures de la République.
Les objets remis au musée - grâce à la mobilisation des adhérents, donateurs et mécènes - appartenaient au Compagnon Jean Maridor, héros des Forces aériennes françaises libres. Ainsi, Christophe Juvanon, adhérent de la SAMOL, a remis la cravate de commandeur de la Légion d’honneur de Jean Maridor. De même, la Société Investeam a fait don de précieux souvenirs (képi, pattes d’épaules et placard de décorations) du Compagnon Gilbert Grandval.
Notre conseil d’administration a décidé à l’unanimité, le 7 octobre 2025, de nommer le général Christian Baptiste président d’honneur.
Enfin, le 9 novembre, à 15h30, au Mémorial de Colombey Les-Deux-Églises, à l’occasion des cérémonies en hommage au créateur de l’Ordre, Philippe Radal prononcera une conférence sur « de Gaulle écrivain, œuvres méconnues ou peu connues ».

La Marine nationale honore les Compagnons de la Libération et les médaillés de la Résistance

Dans la continuité des patrouilleurs outremer (POM) qui portent les noms de Compagnons de la Libération, la Marine nationale a annoncé la construction de dix patrouilleurs hauturiers (PH). L’un de ces bâtiments portera le nom de l’Ile de Sein, seule commune à la fois Compagnon de la Libération et médaillée de la Résistance avec rosette. Cinq de ces nouveaux patrouilleurs porteront le nom de Compagnons de la Libération : Trolley de Prévaux, D’Estiennes d’Orves, Emilienne Moreau, Yves Nonen et Quartier-maître Anquetil .
Les quatre autres prendront les noms de Commandant Ducuing, mort au combat le 25 mai 1940 au cap Gris-Nez, et de trois femmes : Jeanne Bohec et Andrée Borrel, médaillées de la Résistance française, et l'enseigne de vaisseau et infirmière Jacqueline Carsignol.
C'est la première fois, en dehors de celui de Jeanne d'Arc, que des navires de combat de la Marine nationale porteront le nom d'une femme.
Le 3 octobre, une partie de l’équipage du patrouilleur outremer Philippe Bernardino a visité le musée. Leur parrain étant Compagnon de la Libération, ce fut l’occasion pour eux de découvrir les collections permanentes mais surtout de rencontrer notre nouveau délégué national, le général Burkhard, puis d’échanger avec François Broche, fils du commandant Broche sous les ordres duquel Philippe Bernardino avait servi au sein du Bataillon du Pacifique.

85e anniversaire de la création de l’Ordre de la Libération
Le 16 novembre à 18h30, à l’occasion du 85e anniversaire de la création de l’Ordre de la Libération par le général de Gaulle, le délégué national ravivera la flamme sous l’Arc de Triomphe et déposera une gerbe en hommage aux Compagnons de la Libération et aux médaillés de la Résistance.
Vous êtes cordialement conviés à assister à cette cérémonie.
Dernière soirée culturelle de l’année

À l’occasion de la dernière soirée culturelle de l’année, le musée de l’Ordre de la Libération vous propose une conférence – dédicace autour de l’ouvrage Condamnées à mort - L'épuration des femmes collaboratrices, 1944-1951, par son auteur, Fabien Lostec.
Dans ce livre, l’historien explore le destin de 651 femmes condamnées à mort à la Libération, dont 46 furent exécutées. Au-delà des clichés sur la « collaboratrice sentimentale », il dresse le portrait de femmes engagées auprès de l’ennemi, impliquées dans des actions violentes, des déportations et des assassinats.
En présentiel ? L’inscription est obligatoire, pensez à réserver votre place en cliquant ici.
À distance ? Suivez la conférence en direct sur la chaîne YouTube de l’Ordre. (Aucun compte n’est nécessaire pour y accéder.)
Dernière occasion de (re)découvrir notre visite théâtralisée « La Résistance entre en scène » !

Laissez-vous guider par des comédiens de la compagnie Ankreation incarnant des Compagnons de la Libération et des médaillés de la Résistance française, et découvrez les parcours de ces femmes et de ces hommes qui se sont battus pour la liberté.
80 ans après la Libération, vous serez plongés dans la clandestinité de la Résistance intérieure et le poids du système concentrationnaire, mais aussi dans l’aventure incroyable des combats en Afrique et de la libération de la France.
⚠️ Dimanche 23 novembre 2025 à 15h
Plus d’informations et inscriptions en cliquant ici
Le 25 novembre prochain, participez à l’escape game du musée de l’Ordre de la Libération

Vous êtes les membres d’un réseau de résistance qui a élu domicile au pied du dôme de l’Hôtel national des Invalides. Son nom : l’Armée des Ombres. Votre mission est de venir en aide à quatre résistants qui luttent en Europe et en Afrique. La réussite de leurs missions respectives est primordiale pour venir à bout de l’occupant et donner l’avantage aux forces alliées.
À l’heure qu’il est, la Gestapo est déjà à vos trousses. Vous avez une heure pour entrer en contact avec eux et les aider.
Bonne chance camarades.
Plus d’informations et inscriptions en cliquant ici