Musée de l'ordre de la Libération

Lettre d'information | Septembre 2023

Chers amis de l’Ordre de la Libération,

Avec cette lettre d’information, nous reprenons notre diffusion mensuelle de fin de mois, interrompue, comme chaque année, au cœur de l’été. Vous y trouverez donc les activités marquantes de la chancellerie, de son musée et de ses partenaires, de mi-juillet à fin septembre. Elles sont nombreuses, pour ne pas dire foisonnantes et reflètent bien le dynamisme de l’Ordre de la Libération. Nous avons constaté une très forte fréquentation du musée durant l’été, dans la continuité de la progression remarquée depuis début 2023. Il est probable que, pour la première fois depuis la création du musée en 1970, le nombre des visiteurs perce « le plafond de verre » des 200 000 entrées. Avec la rentrée, la mission de « boussole de citoyenneté » dévolue à la chancellerie, reprend donc avec vigueur comme vous pourrez le constater. Nous en sommes très heureux et vous souhaitons une bonne lecture.

La rédaction.

Dévoilement du timbre à l’effigie du Compagnon René Mouchotte (1914-1943) à l’occasion du 80e anniversaire de sa disparition

Le 8 septembre à l’Ecole militaire, la Poste a dévoilé le timbre à l’effigie du Compagnon René Mouchotte (série « Poste aérienne 2023 ») à l’occasion du 80e anniversaire de sa disparition. 

L’artiste Pierre-André Cousin a présenté son œuvre au général Morales, major général de l'armée de l’Air et de l’Espace, en présence de Thierry Quentin petit-neveu de René Mouchotte.

René Mouchotte s’est illustré en tant que pilote de la Royal Air Force. Il reçoit en janvier 1943 le commandement du groupe de chasse « Alsace » avec lequel il remportera plusieurs victoires aériennes. Le 27 août 1943, au cours de sa 141e mission, il est abattu en vol au-dessus de la Manche.

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Le général Morales major général de l'armée de l'Air et de l'Espace, monsieur Cousin peintre officiel de l'armée de l'Air et de l'Espace, monsieur Quentin petit-neveu de René Mouchotte, monsieur Morin directeur adjoint de Philaposte.
© Ordre de la Libération
Monsieur Quentin, petit-neveu de René Mouchotte rappelant les exploits de son grand-oncle.
© Ordre de la Libération

Signature d’une convention de partenariat avec la ville du Plessis-Robinson

Le 12 septembre, le délégué national et le maire du Plessis-Robinson ont signé une convention de partenariat dans le but d’accueillir gratuitement les jeunes et leurs enseignants au musée afin de participer aux activités pédagogiques proposées par son service de médiation.

Monsieur Perrin, maire du Plessis-Robinson, le général Baptiste délégué national, madame Jung conseillère scientifique à l'observatoire national de l'innovation publique, le général Vire conseiller municipal délégué prévention des risques et mémoire, monsieur Touadi maire-adjoint à la démocratie de proximité, citoyenneté et nouvelles technologies.
© Ordre de la Libération
Signature de la convention entre l'Ordre de la Libération et la ville du Plessis-Robinson
© Ordre de la Libération
© Ordre de la Libération

Passation de drapeau au maire de Tavaux-et-Pontséricourt, commune médaillée de la Résistance française

Le général de division (2s) Christian Baptiste, remet à Daniel Leturque, maire de Tavaux-Pontséricourt, le drapeau des communes médaillées de la Résistance française.
© Virginie Lebret – cabinet du préfet de l’Aisne

Le 9 septembre, à Tavaux-et-Pontséricourt (Aisne), le maire de l’Ile-de-Sein, Didier Fouquet, transmettait le drapeau des villes titulaires de la médaille de la Résistance française au délégué national de l'Ordre de la Libération, qui le remettait ensuite à à Daniel Leturque, maire de Tavaux-et-Pontésicourt. 

Au cours de cette cérémonie, le général Baptiste, en sa qualité de président de la commission nationale de la médaille de la Résistance française, a remis à Geoffroy Guillaume la médaille de la Résistance française conférée à titre posthume à son arrière-grand-père, Robert Rabaud.

Voir le reportage complet dans la rubrique médaille de la Résistance française. 

Don du général de division (2s) Jean-Fred Berger

Le général Berger, en présence de plusieurs membres de sa famille toutes générations confondues, a fait don au musée de l’Ordre de la Libération d'émouvants souvenirs de son grand-oncle le Compagnon de la Libération Jean-Pierre Berger. Il s'agit en effet des quelques objets, documents et photographies qui furent repêchés avec son corps après que son avion a été abattu le 30 juin 1940 par les Espagnols en approchant de Gibraltar. 

Le don comporte, entre autres, un portefeuille avec divers papiers d’identité de l’époque, deux lettres personnelles envoyées à sa famille en mai et juin 1940, quelques photographies du Compagnon lorsqu’il était sous-lieutenant au 6e régiment de spahis marocains et plusieurs autres de sa jeune fiancée. 

Le délégué national de l'Ordre de la Libération entouré de la famille du Compagnon de la Libération Jean-Pierre Berger à l'occasion de la remise en don de certains objets lui ayant appartenu.
© Musée de l'Ordre de la Libération
Le général Berger présentant les objets de son grand-oncle à Vladimir Trouplin conservateur du musée et à Beatrice Parrain responsable des collections photographiques du musée de l'Ordre de la Libération.
© Musée de l'Ordre de la Libération
© Musée de l'Ordre de la Libération
Objets ayant appartenu au Compagnon Jean Pierre Berger
© Musée de l'Ordre de la Libération

Visite de Laurent Le Bon au musée de l'Ordre de la Libération

Monsieur Le Bon, président du centre national d'art et de culture Georges-Pompidou et le général Baptiste délégué national de l'Ordre de la Libération.
© Ordre de la Libération

Laurent Le Bon, président du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou, a échangé avec le général Baptiste le 15 septembre sur les missions de l'Ordre de la Libération en tant que "boussole de la citoyenneté". 

Cet échange a été suivi d’une visite du musée menée par Vladimir Trouplin directeur scientifique de l'Ordre de la Libération et conservateur du musée de la Chancellerie. 

Une promotion « Berty Albrecht » de directeurs des services pénitentiaires

La promotion de directeurs des services pénitentiaires d’Agen a pris pour nom de baptême Berty Albrecht.

Lors de leur cérémonie de fin de formation, qui a eu lieu le 14 septembre à Agen, un discours du délégué national de l'Ordre de la Libération a été lu pour rappeler l’engagement de Berty Albrecht. 

Le délégué de la 52e promotion nous explique ce choix :   

« Nous souhaiterions nous placer sous le haut patronage d’une femme, professionnelle de santé et fonctionnaire de l’État français, ayant dédié son existence au service des blessés, des prisonniers, des plus démunis et ayant farouchement défendu la condition féminine. Anticonformiste, héroïne de la Résistance, Compagnon de la Libération, celle qui a su aimer toutes les cultures comme la sienne incarne l’engagement, l’audace, le mérite et la défense des droits : des valeurs singulièrement inspirantes pour les futurs hauts fonctionnaires de l’État que nous sommes. Par ce choix, nous exprimons notre engagement à servir l’État en mettant la devise républicaine au premier plan. »

 

Cérémonie de fin de première année de formation et de baptême de la 52e promotion de directeurs des services pénitentiaires et de la 16e promotion de directeurs pénitentiaire d'insertion et de probation.
© Virgine Paviza
Cérémonie de fin de première année de formation et de baptême de la 52e promotion de directeurs des services pénitentiaires et de la 16e promotion de directeurs pénitentiaire d'insertion et de probation.
© Virgine Paviza

Visite du musée de la Résistance nationale de Champigny-sur-Marne

Le 19 septembre, l’équipe de l’Ordre de la Libération a visité le musée de la Résistance nationale, à Champigny-sur-Marne qui œuvre pour la transmission de la mémoire et des valeurs de la Résistance. L’équipe a pu découvrir les espaces permanents du nouveau musée guidée par Xavier Aumage, archiviste du musée.

Visite du musée de la Résistance nationale de Champigny-sur-Marne
© Ordre de la Libération
Xavier Aumage, archiviste du musée de la Résistance nationale de Champigny-sur-Marne lors de la visite au personnel de l'Ordre.
© Ordre de la Libération
Visite du musée de la Résistance nationale de Champigny-sur-Marne
© Ordre de la Libération
Visite du musée de la Résistance nationale de Champigny-sur-Marne
© Ordre de la Libération
Visite du musée de la Résistance nationale de Champigny-sur-Marne
© Ordre de la Libération

Signature d’une convention avec l’école CentraleSupélec

© Ordre de la Libération

Le général Baptiste et monsieur Soubeyran, directeur de CentraleSupélec, ont signé une convention dans le cadre de la formation de jeunes citoyens des étudiants de CentraleSupélec. De plus, cette convention permet aussi de valoriser les 8 Compagnons de la Libération issus de l’Ecole centrale, les 3 de l’Ecole supérieure d’électricité et plusieurs dizaines de médaillés de la Résistance issus de ces deux écoles qui ont fusionné pour former CentraleSupélec. 

Réunion de la commission nationale de la médaille de la Résistance française.

Le 22 septembre, la commission nationale de la médaille de la Résistance française (CNMRF) s’est réunie à l’Ordre de la Libération, sous la présidence du délégué national. 

Cette commission, dont les membres sont nommés par décret présidentiel, a pour responsabilité d’étudier les demandes d’attribution de la médaille de la Résistance à titre posthume instruites par le ministère des Armées, afin de proposer au président de la République les dossiers pouvant se voir décerner cette distinction.

Dix-neuf demandes d’attribution de la médaille de la Résistance française à titre posthume étaient à l’ordre du jour, démontrant tout l’intérêt que les familles ou les associations patriotiques ou mémorielles portent à la reconnaissance de l’engagement résistant et à la transmission de ce patrimoine immatériel.

Les membres de la commission étaient, à l’origine, uniquement des médaillés de la Résistance. En raison de leur disparition inéluctable, la commission s’est ouverte à des personnalités qualifiées choisies pour leurs compétences dans le domaine de l’Histoire et de la mémoire. A ce jour, les membres de la commission sont :

Le général de division (2S) Christian Baptiste (président de la commission), Michèle Agniel (MRF) ; Fabrice Bourrée (secrétaire de la commission) ; le colonel (h) Hugues Goudon de Lalande; Lise Graf (MRF); René Groussard ; Jean-Pierre Masson ; Yves Meyer (MRF) ; Pap Ndiaye ; Guillaume Piketty ; Odile de Vasselot (MRF) et Dominique Veillon.

Rappel sur les conditions de proposition à l’attribution de la médaille de la Résistance française 

Commission nationale de la médaille de la Résistance française
© Ordre de la Libération
Les membres de la commission nationale de la médaille de la Résistance : le général Baptiste, madame Veillon, monsieur Goudon de Lalande, monsieur Bourrée, monsieur Masson, monsieur Piketty, monsieur Meyer médaillé de la Résistance française, monsieur Trouplin, conseiller du président de la commission.
© Ordre de la Libération

Exposition « Un chevalier du ciel. Edouard Corniglion Molinier, Compagnon de la Libération 1898-1963 ».

© Caroline Pauchant

L’exposition « Un chevalier du Ciel. Edouard Corniglion Molinier, Compagnon de la Libération 1898-1963 », ouvrira au public le 2 octobre.

La visite presse organisée le 29 septembre a permis à de nombreux journalistes de découvrir en avant-première l’exposition.

Pour en savoir plus sur l'exposition cliquez-ici

Lionel Dardenne, commissaire de l'exposition "Un chevalier du ciel. Edouard Corniglion-Molinier, Compagnon de la Libération 1898-1963" présentant l'exposition aux journalistes.
© Musée de l'Ordre de la Libération
Lionel Dardenne, commissaire de l'exposition "Un chevalier du ciel. Edouard Corniglion-Molinier, Compagnon de la Libération 1898-1963" présentant l'exposition aux journalistes.
© Musée de l'Ordre de la Libération
Lionel Dardenne, commissaire de l'exposition "Un chevalier du ciel. Edouard Corniglion-Molinier, Compagnon de la Libération 1898-1963" présentant l'exposition aux journalistes.
© Musée de l'Ordre de la Libération

Visite de membres de l’état-major de l’armée de Terre

Visite de l'état-major de l'armée de Terre au musée de l'Ordre de la Libération
© Ordre de la Libération

Le colonel Guillaume Percie du Sert et des membres de l’état-major de l’armée de Terre ont participé à une visite du musée de l’Ordre de la Libération. Accueillis par le général Baptiste, ils ont échangé sur le rôle social de l’Ordre de la Libération.

Parce qu’un musée d’histoire contemporaine est constitué d’objets qui témoignent que « l’histoire a eu lieu » mais également d’archives et de photographies sans lesquelles la contextualisation est impossible, parce que le musée de l’Ordre détient aussi dans ces domaines des collections d’une grande richesse, il nous a semblé intéressant d’élargir désormais à ces trois domaines la rubrique de « L’objet du mois », en laissant à ceux qui en ont la charge directe le soin de les choisir et de les commenter.

L'objet du mois par Lionel Dardenne, assistant de conservation

Plaque de zinc du journal Libération ayant appartenu à Emmanuel d’Astier de la Vigerie 

Entré en juillet 1943 au mouvement Libération créé par Emmanuel d’Astier de la Vigerie, Jules Meurillon propose de faire réaliser deux jeux de clichés sur zinc par journal, permettant d’obtenir une impression identique, d’où qu’elle provienne.

Cette plaque de zinc est celle de la deuxième page du journal Libération du 1er juillet 1943 (n°30). N’existant qu’en deux exemplaires, elle est extrêmement rare.

Don de Geoffroy d’Astier de la Vigerie

Plaque de zinc du journal "Libération"
© Musée de l'Ordre de la Libération

L'archive du mois par Roxane Ritter, responsable des archives et de la bibliothèque

À l'aube du 23 septembre 1940, le général de Gaulle se présente devant Dakar (Sénégal) avec quelques bâtiments de guerre des Forces françaises libres, accompagnés par une flotte britannique. L’opération « Menace » a alors pour but d'obtenir le ralliement à la France libre de l’Afrique Occidentale française dont Dakar est la capitale.

Les fusiliers marins du capitaine de corvette Detroyat sont chargés de débarquer les premiers afin de prendre le contrôle de l’arsenal et du port. Ils se voient remettre par les 5 officiers du 1er bataillon de fusiliers marins, dont Jean des Moutis, des instructions écrites concernant l’attitude à observer pendant l’opération ainsi que leur présentation physique. Ils sont ainsi invités à se raser le matin du débarquement, à se méfier du soleil et à ne pas accepter à boire une fois débarqués. Leur bonnet doit être placé « bien droit sur la tête », le pompon rouge étant leur première arme. Leur force doit être déployée de manière pacifique et disciplinée et les hommes sont autorisés à ouvrir le feu uniquement sur ordre de leurs officiers. À ces instructions sont également joints deux questionnaires à adresser à la population locale.

Mais, après les échanges d’artillerie entre Dakar et les bâtiments anglais et français libres, puis une seconde tentative dans l’après-midi de débarquement sur la plage de Rufisque alors que les troupes de Vichy répliquent, le général de Gaulle fait annuler cette opération qui se voulait pacifique. Au terme de cet affrontement fratricide qui fera près de 200 tués militaires et civils, et plus de 500 blessés des deux côtés, et qui restera comme « l’échec de Dakar », de Gaulle et les Britanniques se retirent.

Recommandations remises aux fusiliers marins avant l’opération « Menace » du 23 septembre 1940. Don de Robert des Moutis.
© Musée de l'Ordre de la Libération
Recommandations remises aux fusiliers marins avant l’opération « Menace » du 23 septembre 1940. Don de Robert des Moutis.
© Musée de l'Ordre de la Libération

La photo du mois par Béatrice Parrain, responsable des collections photographiques

Cette photographie montre les soulèvements de la population corse à Ajaccio qui vont conduire à la libération de l’île le 4 octobre 1943.

Cette libération a été préparée par la France libre pour éviter une prise de contrôle de ce territoire français par les Américains. En effet, en janvier 1943, Fred Scamaroni est débarqué clandestinement près d’Ajaccio. Il est envoyé par le général de Gaulle pour tenter d’unifier la Résistance corse qui est alors divisée entre communistes, alliés aux giraudistes et gaullistes. Sa mission ne peut aboutir car il est arrêté par l’OVRA (police politique italienne) et se suicide en prison.

À Alger, en avril, le général Giraud, charge de son côté Paulin Colonna d’Istria, à l’insu du général de Gaulle, de coordonner la Résistance locale en négociant avec le communiste Arthur Giovoni. L’insurrection commence le 9 septembre. Trois jours plus tard, le sous-marin Casabianca, qui a déjà accompli 6 missions de débarquement d’agents, armes et munitions pour armer la Résistance insulaire, débarque à Ajaccio les premières troupes françaises du Bataillon de choc. Les combats contre les Allemands se poursuivent jusqu’au 4 octobre faisant alors de la Corse le premier territoire métropolitain libéré.

Insurrection à Ajaccio le 9 septembre 1943
© Musée de l'Ordre de la Libération

Visites de la rentrée !

En ce mois de septembre, le service de médiation a accueilli plusieurs groupes en visite guidée dont :

  • des attachés d’administration du ministère des Armées qui ont suivi une formation professionnelle dans les locaux de l’Ordre ainsi qu’une visite guidée du musée avec nos médiatrices ; 
  • des personnes inscrites au pôle citoyenneté de Paris avec qui nous avons récemment signé une convention. Relevant du champ social, ce pôle citoyenneté a pour but de favoriser la création d’un lien social et de convivialité entre les habitants de Paris Centre grâce à divers ateliers, visites, et programmes culturels.

Visite des attachés d’administration du ministère des Armées
© Musée de l'Ordre de la Libération
Visite des attachés d’administration du ministère des Armées
© Musée de l'Ordre de la Libération
Visite du pôle citoyenneté de Paris
© Musée de l'Ordre de la Libération
Visite du pôle citoyenneté de Paris
© Musée de l'Ordre de la Libération

Nouvel atelier « intox-désintox »

Visite atelier "intox-désintox"
© Musée de l'Ordre de la Libération

Le service médiation propose, en cette rentrée 2023, un nouvel atelier consacré à la déconstruction d’idées reçues sur la Seconde Guerre mondiale. Cet atelier a été testé par la Mission locale de Paris : après une visite du musée, la séquence en salle pédagogique a permis aux participants de décrypter de fausses informations à l’aide d’un corpus de documents historiques puis de rétablir la vérité historique en rédigeant un post sur un réseau social fictif.

Cliquez-ici pour réserver cet atelier. 

 

Les journées européennes du Patrimoine (JEP) hors et dans les murs !

Le service des publics et celui de la médaille de la Résistance française ont participé aux JEP les 16 et 17 septembre. Des objets et documents d’époque et une exposition sur la médaille de la Résistance ont été présentés à l’Ecole militaire qui, pour cette occasion, a ouvert ses portes au public. 823 personnes ont ainsi découvert les activités de l’Ordre de la Libération.
Une visite théâtralisée s’est également déroulée dans le musée dimanche.
Au total, 2380 personnes ont visité le musée durant ce week-end.

Témoignage d’un visiteur ayant assisté à la visite théâtralisée à l’occasion des JEP :

« Née à Paris en février 1944, je suis très intéressée par l’histoire de la Résistance et de la Libération.
J’avais déjà visité ce musée, mais je ne regrette pas d’ y être retournée pour cette mise en scène autour de quelques figures de la Résistance. J’ai été totalement passionnée par cette astucieuse scénographie de textes bien choisis et interprétés par des comédiens engagés. Habituée à fréquenter les salles de spectacle, je ne suis pas toujours aussi enthousiaste.
Bravo à tous ceux qui ont permis à ces représentations de voir le jour, s’adressant à un public de tout âge ! Merci de m’avoir permise d’y assister ! »

Stand de l'Ordre de la Libération et de la médaille de la Résistance aux JEP 2023 à l'Ecole militaire.
© Ordre de la Libération
Stand de l'Ordre de la Libération et de la médaille de la Résistance aux JEP 2023 à l'Ecole militaire.
© Ordre de la Libération
Stand de l'Ordre de la Libération et de la médaille de la Résistance aux JEP 2023 à l'Ecole militaire.
© Ordre de la Libération
Visite théâtralisée
© Musée de l'Ordre de la Libération
Visite théâtralisée
© Musée de l'Ordre de la Libération

Nouveauté de la rentrée 2023 : l’escape Game l’Armée des Ombres

Affiche de l'escape game : L'Armée des Ombres
© Prod tape

Le 22 septembre, l’équipe de médiation du musée a organisé une avant-première de l’escape game l’Armée des Ombres avec des blogueurs spécialisés. Durant une heure, trois équipes de blogueurs se sont prêtées au jeu immersif dont l’objectif est de venir en aide à quatre résistants répartis aux quatre coins de l’Europe et de l’Afrique.

Voici un extrait du retour d'un bloggeur spécialisé ayant participé à la première : 

"Le jeu se joue en effet à 4 équipes (de 3 personnes ou plus) en simultané. Afin d’éviter tout spoil ou embouteillage, elles accomplissent les 4 missions dans un ordre différent. Actuellement une seule session pour 4 équipes est prévue chaque mois. Ça risque d’être difficilement tenable et le jeu pourrait devenir aussi difficile à réserver qu’Artifact. Au vu de sa qualité, je ne peux que recommander d’aller le jouer sans attendre." The escapers

Cette nouvelle offre sera proposée une fois par mois, en soirée, au public individuel. La première séance publique aura lieu le 11 octobre à 18h45.

Si vous souhaitez plus d’informations ou vous inscrire, cliquez-ici

Teaser de l'escape game : l'Armée des Ombres

Soirée culturelle

© Ordre de la Libération

Le 21 septembre, Stéphane Weiss a présenté son ouvrage « Elie Rouby Compagnon de la Libération ». Ce livre retrace le parcours héroïque de ce Compagnon : engagé volontaire en 1939, il a recueilli des juifs et des résistants pourchassés pendant l’Occupation avant de diriger des embuscades comme membre de l'Armée secrète (AS) de Haute-Vienne en juin 1944.

Vous pouvez retrouver cette soirée culturelle et toutes les précédentes sur la chaine YouTube de l’Ordre de la Libération ici 

 

Commémoration du 79e anniversaire de la libération de Paris

Le 25 août 2023, la traditionnelle commémoration de la libération de Paris place de l'hôtel de ville était centré sur une évocation historique et musicale sur le thème de « Dans la nuit, la Liberté - L’année 1943 ». 

Lors de la commémoration du 79e anniversaire de la libération de Paris, un hommage a aussi été rendu au général Leclerc et aux combattants de la 2e DB, porte d’Orléans où Leclerc est entré pour libérer Paris le 25 août 1944. 

Cérémonie commémorative de la libération de Paris - Prise d'armes et évocations historique sur le parvis de l'hôtel de ville.
© Jean-Baptiste Gurliat - Ville de Paris
Cérémonie militaire en hommage à la 2DB devant la statue du général Leclerc (porte d'Orléans)
© Guillaume Bontemps - Ville de Paris
Cérémonie militaire en hommage à la 2DB devant la statue du général Leclerc (porte d'Orléans)
© Guillaume Bontemps - Ville de Paris
© Guillaume Bontemps - Ville de Paris

Retour sur la cérémonie à Nouméa en l’honneur des Compagnons de la Libération

Madame Anne de Laroullière, petite-fille du général de Gaulle, fille du général de Boissieu chancelier de l'Ordre de la Libération de 2002 à 2006,  a assisté à une cérémonie d’hommage aux Compagnons de la Libération à Nouméa.

Elle représentait le délégué national de l'Ordre de la Libération ainsi que le président de l'association des familles de Compagnon de la Libération (AFCL).

Organisée par Michel Mourguet, délégué de la Fondation de la France libre, la cérémonie a réuni au pied de la Croix de Lorraine de Nouméa, érigée en hauteur de la ville, les plus hautes autorités militaires et politiques de l’Île et une assistance composée de jeunes, de descendants de Compagnons ou médaillés, et d’un public intéressé.

Le Chant des partisans et la Marseillaise ont été interprétés par une classe de CM2 de Nouméa, conduite par l’instituteur monsieur Amyot qui, chaque année depuis 2015, prépare sa classe aux cérémonies du 18 juin ou du 19 septembre. 

Madame de Laroullière, monsieur Cavier, directeur territorial de la Police nationale, monieur Puchois, représentant le général des Forces armées, madame Champmoreau représentante du gouvernement, monsieur Frogier, sénateur, madame Lagarde maire de Noumea, monsieur Le blanc, haut commissaire, monsieur Dunoyer, député, madame Bacques, présidente de l'Assemblée de la province sud, madame Ruffenach, représentante du congrès, le général de Gendarmerie Nicolas Mattheos, monsieur Leeman, président de l'amicale des anciens combattants, monsieur Porcheron.
© Ordre de la Libération
Monsieur Gatuhau, maire de Paita, portant le drapeau, et 5 descendants de Compagnon de la Libération : madame de Laroullière, monsieur Porcheron, monsieur Teriierooiterai, monsieur Tranape et monsieur Benebig.
© Ordre de la Libération
© Ordre de la Libération
Monuments à la mémoire du fondateur de l’Ordre et des Compagnons calédoniens
© Ordre de la Libération
Monuments à la mémoire du fondateur de l’Ordre et des Compagnons calédoniens
© Ordre de la Libération
Monuments à la mémoire du fondateur de l’Ordre et des Compagnons calédoniens
© Ordre de la Libération
La promenade Général Simon, chancelier de l’Ordre de 1978 à 2002
© Ordre de la Libération

Passation du drapeau des communes médaillées de la Résistance française à Tavaux-et-Pontséricourt

C'est en juin 1986, que les maires des villes médaillées de la Résistance française ont signé une déclaration solennelle les engageant à "assurer la pérennité du message de la Résistance française incarnée par le général de Gaulle et ses compagnons et à entretenir entre les collectivités les liens particuliers d’amitié et de fraternité". Au sein de l’association nationale des médaillés de la Résistance française, fondée en 1947, était ainsi mis en place un comité national des communes titulaires de la médaille de la Résistance française. De ce comité est née en 2013 l’association nationale des communes médaillées de la Résistance française. Depuis cette date, à tour de rôle et dans l'ordre alphabétique, les communes médaillées se transmettent le drapeau symbolisant leur attachement aux valeurs portées par la Résistance et la transmission de ces dernières.

C’est ainsi que le 9 septembre à Tavaux-et-Pontséricourt (Aisne), le maire de l’Ile-de-Sein, Didier Fouquet, remettait ce drapeau des villes titulaires de la médaille de la Résistance française au général Baptiste, délégué national de l’Ordre de la Libération, qui, lui-même, le transmettait à Daniel Leturque, maire de Tavaux-et-Pontséricourt. Cette cérémonie s’est déroulée en présence notamment  du sous-préfet Damien Tournemire, du colonel David Pawlowski, délégué militaire départemental de l’Aisne, d’Antoine Lefèvre, sénateur de l’Aisne, de Jean-Louis Bricout, député de la 3e circonscription de l’Aisne, de représentants du conseil départemental, ainsi que des maires et représentants des communes médaillées de la Résistance française et de l’association nationale des descendants des médaillés de la Résistance française.

En réaction à des attaques par la résistance locale le 30 août 1944, 21 civils ont été massacrés froidement et 86 maisons et fermes totalement détruites par les troupes allemandes, le village de Tavaux est médaillé de la Résistance française par décret du 31 mars 1947.

Défilé des porte-drapeaux et des autorités civiles et militaires.
© Ordre de la Libération
Les autorités civiles et militaires, le maire de l'île de Sein et le maire de Tavaux-et-Pontséricourt entourant le délégué national et le sous-préfet Damien Tournemire
© Ordre de la Libération
Allocution de Daniel Leturque, maire de Tavaux-et-Pontséricourt
© Ordre de la Libération
Allocution du général Baptiste
© Ordre de la Libération
Didier Fouquet, maire de l’Ile-de-Sein, remet au délégué national, le drapeau des communes médaillées de la Résistance
© Virginie Lebret – Cabinet du préfet de l’Aisne
Le délégué national transmet le drapeau à Daniel Leturque, maire de Tavaux-et-Pontséricourt
© Virginie Lebret – Cabinet du préfet de l’Aisne
Les maires et représentants des communes médaillées de la Résistance entourant le délégué national de l’Ordre de la Libération et le sous-préfet Damien Tournemire
© Ordre de la Libération

Remise de médaille de la Résistance

Au cours de la cérémonie du 9 septembre à Tavaux-et-Pontséricourt, le général Baptiste, président de la commission nationale de la médaille de la Résistance française, a remis à Geoffroy Guillaume la médaille de la Résistance française conférée à titre posthume à son arrière-grand-père, Robert Rabaud, par décret du 28 avril 1959 et qui n’avait jamais été remise à la famille.

Né le 20 octobre 1909 à Charmont-en-Beauce (Loiret), orphelin de guerre – son père ayant été tué à l’ennemi en 1915 dans la Marne – Robert Rabaud exerce la profession de garagiste à Charmont. Entré au réseau Jade Amicol en avril 1942, il met son domicile à la disposition de l’organisation. Après le Débarquement, Robert Rabaud est chargé de fournir un véhicule pour acheminer en Sologne les armes cachées par les résistants de Charmont. Alors que son domicile est sous l’étroite surveillance de la Milice, Robert Rabaud y est arrêté le 22 juillet 1944 en venant rendre visite aux siens. Détenu à Orléans puis à Fresnes, il est déporté à Buchenwald par le convoi du 15 août 1944. Envoyé à Dora le 3 septembre, il est ensuite affecté au kommando d’Ellrich où il trouve la mort le 25 décembre 1944.

 

Le général Baptiste remet à Geoffroy Guillaume la médaille de la Résistance française conférée à titre posthume à son arrière-grand-père, Robert Rabaud.
© Ordre de la Libération
Geoffroy Guillaume, arrière-petit-fils de Robert Rabaud, portant dans ses mains le diplôme décerné à son arrière-grand-père.
© Ordre de la Libération

Assemblée générale de l'AFCL délocalisée à l'île de Sein

Le 16 septembre, à l’invitation de son maire Didier Fouquet, l’AFCL a tenu un conseil d’administration décentralisé sur l’île de Sein, commune Compagnon de la Libération et médaillée de la Résistance avec rosette. 

Les participants se sont recueillis devant le monument des Forces françaises libres, en se souvenant que le général de Gaulle, apprenant que plus d’une centaine de Sénans étaient présents parmi les 500 premiers volontaires qu’il rencontrait fin juin 1940 à l’Olympia Hall de Londres, s’était exclamé : « Eh bien ! l’île de Sein, c’est le quart de la France ».

La visite du musée permet de découvrir l'histoire et le quotidien des Sénans en faisant voyager dans le temps, contant notamment le départ des hommes après l'Appel du 18 juin 1940 et présentant d’émouvants souvenirs.

Un déjeuner avec le maire, à qui nous avons offert un exemplaire du premier prix de l’AFCL décerné à Pierre Servant pour son ouvrage « Les 7 vies d’Adrien Conus », a clôturé cette intéressante visite.

Jean-Paul Neuville président de l'AFCL, Roger Guillamet président d’honneur, Général (2S) Patrice Gallas et Loic Teisserenc administrateurs, devant le monument des Forces françaises libres.
© Catherine Beurel-Vierron
Didier Fouquet, maire de l’île de Sein, Jean-Paul Neuville, Roger Guillamet, Général (2S) Patrice Gallas et Loic Teisserenc dans le musée, devant les blasons des communes Compagnon de la Libération.
© Catherine Beurel-Vierron
Didier Fouquet montrant la dédicace du premier Prix de l’AFCL décerné en 2023
© Catherine Beurel-Vierron

Assemblée générale des villes médaillées de la Résistance.

Le 9 septembre, les communes et collectivités médaillées de la Résistance française se sont retrouvées à Tavaux-et-Pontséricourt dans l’Aisne à l’occasion de l’assemblée générale annuelle et la traditionnelle cérémonie de passation du drapeau tricolore, en présence du général Christian Baptiste.

Au cours de cette cérémonie, un hommage a été rendu aux 21 Taveloises et Tavelois assassinés le 30 août 1944. La moitié du village a été brulé par la division SS Adolf Hitler.

Un nouveau bureau a été installé suite à l’assemblée générale :

  • Daniel Leturque, maire de Tavaux-et-Pontséricourt, président ;
  • Didier Fouquet, maire de l’Ile de Sein, et Jean-Pierre Dufourcq, maire de Terrou, vice-présidents ;
  • Renaud Donzel, maire-adjoint de Nantua, secrétaire général.
Le délégué national de l’Ordre de la Libération, les maires et représentants des villes médaillées de la Résistance et de l’association nationale des descendants des médaillés de la Résistance française.
© Ordre de la Libération
Allocution d’ouverture de Didier Fouquet, maire de l’île-de-Sein, président en exercice de l’association nationale des communes et collectivités médaillées de la Résistance française de septembre 2022 à septembre 2023
© Ordre de la Libération
Présentation du rapport moral et financier 2022.
© Ordre de la Libération

Inauguration de l’exposition « La France libérée par son Empire ? » au Mont-Valérien

Affiche de l'exposition : "La France libérée par son Empire ?"
© Mont Valérien

Le général Baptiste a assisté à l’inauguration, par madame Peaucelle-Delelis, directrice générale de l'ONaCVG, de l’exposition temporaire « La France libérée par son Empire ? » qui évoque l’importance de l’Empire français dans la libération de la France et aborde la question de la mémoire de ces combattants après la guerre.
 

Exposition de l’ONaCVG conçue par Julie Le Gac, Nina Wardleworth et Julien Fargettas, présentée jusqu’au 30 septembre 2024 au Mont-Valérien.

Remise des prix du concours bulles de mémoire

Remise du prix de l'Ordre de la Libération
© Ordre de la Libération

La remise de prix du concours de bande dessinée Bulles de mémoire, organisé par l’Office national des combattants et des victimes de guerre auquel l'Ordre de la Libération est associé, a eu lieu le 28 septembre.

Le prix de l’Ordre de la Libération a été remis à quatre élèves du lycée Nouvelle-Aquitaine (enseignante Madame Derouault) : Victoire Audinet, Agathe Christiaens, Juliette Debaig, Margot Mottron pour leur bande dessinée "Munitionette". 

Retrouvez les évènements proposés à partir du mois d'octobre 2023 ci-dessous :

Exposition temporaire « Un chevalier du ciel. Edouard Corniglion Molinier, Compagnon de la Libération 1898-1963 »

© Caroline PAUCHANT

Découvrez le parcours d’Edouard Corniglion Molinier retracé dans l’exposition « Un chevalier du ciel. Edouard Corniglion-Molinier, Compagnon de la Libération 1898-1963 » présentée au musée de l’Ordre de la Libération, du 2 octobre au 4 février 2024.

Pour avoir plus d'informations sur l'exposition cliquez-ici

L’escape game « L’armée des ombres », à découvrir le 11 octobre

© Ordre de la Libération

Ce jeu immersif dont l’objectif est de venir en aide à quatre résistants répartis aux quatre coins de l’Europe et de l’Afrique est proposé une fois par mois, en soirée, au public individuel. La première séance publique aura lieu le 11 octobre à 18h45.

Si vous souhaitez plus d’informations ou vous inscrire, cliquez-ici

Le 13 octobre, confiez-nous vos archives : nouvelle collecte numérique des archives relatives à la médaille de la Résistance française, au Mémorial de Caen

© Ordre de la Libération

En cette année de 80e anniversaire de la création de la médaille de la Résistance française, l’Ordre de la Libération poursuit en région sa collecte d’archives des titulaires de cette distinction.

Le 13 octobre, de 10h à 17h, retrouvez-nous au Mémorial de Caen pour la collecte numérique d'archives relatives aux titulaires de la médaille de la Résistance française. Une fois numérisées, vos archives vous seront ensuite restituées.  

Soirée culturelle du 19 octobre : « La Corse, premier département de métropole libéré », conférence de Vincent Giraudier

© Ordre de la Libération

Le 19 octobre, dans le cadre des soirées culturelles organisées par le musée de l’Ordre de la Libération, l'historien Vincent Giraudier, chef du département Historial Charles de Gaulle au musée de l’Armée, interviendra sur le thème « La Corse, premier département de métropole libéré ».

Si vous souhaitez assister à la conférence en présentiel, l'inscription est obligatoire !

POUR VOUS INSCRIRE CLIQUEZ-ICI 

Pour ceux qui souhaitent suivre la conférence à distance :

- Sur Youtube en live : en vous rendant sur la chaine Youtube de l’Ordre pour suivre la conférence en direct : https://www.youtube.com/@ordredelaliberation8775

(Il n'est pas nécessaire d'avoir un compte sur Youtube pour suivre la conférence)

Soirée culturelle du 23 novembre : "Edouard Corniglion Molinier", conférence de Lionel Dardenne

© Ordre de la Libération

Le 23 novembre, Lionel Dardenne, commissaire de l'exposition « Un chevalier du ciel. Edouard Corniglion-Molinier, Compagnon de la Libération 1898-1963 » nous présentera le parcours de ce Compagnon méconnu. 

Si vous souhaitez assister à la conférence en présentiel, l'inscription est obligatoire !

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Pour ceux qui souhaitent suivre la conférence à distance :

- Sur Youtube en live : en vous rendant sur la chaine Youtube de l’Ordre pour suivre la conférence en direct : https://www.youtube.com/@ordredelaliberation8775

(Il n'est pas nécessaire d'avoir un compte sur Youtube pour suivre la conférence)

Soirée culturelle du 14 décembre : "L'épopée du Normandie-Niemen. Des français libres sur le front de l'est. 1942-1945" conférence de Stéphane Simonnet

© Musée de l'Ordre de la Libération

Le 14 décembre, Stéphane Simonnet viendra nous présenter son nouvel ouvrage : "L'épopée du Normandie-Niemen. Des français libres sur le front de l'est. 1942-1945". 

Si vous souhaitez assister à la conférence en présentiel, l'inscription est obligatoire !

POUR VOUS INSCRIRE CLIQUEZ-ICI 

Pour ceux qui souhaitent suivre la conférence à distance :

- Sur Youtube en live : en vous rendant sur la chaine Youtube de l’Ordre pour suivre la conférence en direct : https://www.youtube.com/@ordredelaliberation8775

(Il n'est pas nécessaire d'avoir un compte sur Youtube pour suivre la conférence)

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